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Certains y voient le plus vieux métier du monde, d’autres la misère de ce même monde. Mais il s’agit aussi d’un fantasme. Depuis l'arrivée d’internet, de nouvelles pratiques émergent en mode “auto-entrepreneur”.
Dans cet épisode, nous arpentons le sujet de l’escorting. Bienvenu dans le point G

Oui, on ne dit plus prostitution, c’est trop péjoratif et ça ramène à des images caricaturales de la femme vulgaire surmaquillée qui arpente les rues pour racoler le passant en vue de louer son corps. 

Même si c’est aussi une réalité, la pratique se veut aujourd’hui chic par ceux qui créent leur propre business, sans le fameux mac qui vient prendre la moitié de la recette. Cette couche marketing d’auto-entrepreneur a pris le nom d’escorte et propose des services à la carte.

Nous allons à la rencontre d’un monde 2.0 et très organisé où on ne sait plus ce qui est légal ou nous, moral ou non, dangereux ou non… Le seul point commun avec le passé, c’est que ça finit toujours en faveurs sexuelles contre de l’argent. Et ça, c’est vieux comme le monde.

Même si on se doute que ça existait déjà avant, on trouve les premières traces de prostitutions officielles il y a plus de 10 000 ans au moyen orient.

À l’époque, il y avait des femmes qui se donnaient en offrandes aux hommes. Souvent stériles, elles proposaient leurs faveurs pour honorer des déesses sans risque d’enfanter. On appelait ça de la prostitution sacrée. On ne sait pas s’il y avait alors une réelle rémunération ou même un consentement éclairé.

Il y a près de 3000 ans, chez les Étrusques, il était classique pour les femmes de se vendre afin de se constituer une dot financière pour leur futur mariage. Pratique pas du tout au goût des Grecs par contre.

Pourtant, ce sont eux, les grecs, qui ont inventé des lieux publics où on pouvait louer des corps. Généralement des esclaves ou des orphelins sans ressources. Certains endroits se spécialisent et se privatisent, c’est donc déjà l'apparition des maisons closes.

Mais toutes les prostituées n’ont pas accès à ces lieux. Il leur reste alors le racolage sauvage, généralement dans les ports. D’autres préfèrent monter en gamme et vendre leurs faveurs en accompagnant intellectuellement et sexuellement certains aristocrates. 

Pour en revenir aux esclaves, il s’agissait là d'une “propriété privée”, on pouvait donc s’en servir comme bon nous semble à Rome. Coucher avec n’est même pas considéré comme trompé son épouse.

Il existe bien quelques lois pour interdire la location sexuelle d'esclaves à des tiers extérieurs, mais elles ne sont pas ou peu appliquées.

La prostitution va donc bon train à Rome. Dans des maisons signalées par des bougies spéciales, dans des auberges ou dans la rue. On racolait devant les arcades, qu’on appelait Fornix, d’où le terme Fornication (voilà, on pose ça là, vous en faites ce que vous voulez).

Mais rapidement, on décide d'encadrer ces pratiques en faisant en sorte de cataloguer les prostituées comme personnes immorales. À l’époque, il y a 2200 ans, c'étaient des milliers de femmes, mais aussi d’hommes et d’enfants qui fournissaient ce marché.

On nage alors dans une ambiguïté cynique… on dénonce l’immoralité de la chose sans vraiment l’interdire… on la taxe même…comme aujourd’hui, 2000 ans plus tard.

Entre temps, la religion accuse de faute morale les prostituées. Elles sont pourtant présentes dans bon nombre d'écrits. Heureusement pour elles, elles peuvent être sauvées par la foi.

On leur trouve même une utilité. Elles protègent les autres femmes et les jeunes filles du désir malsain des hommes.

Au moyen âge, les prostituées sont souvent des femmes victimes de viol. Une agression pas encore réellement criminalisée.

On les retrouve en groupes dans des établissements officiels avec pignon sur rue, ou dans des lieux plus privés, tolérés.

Mais il existe aussi des personnes en “profession libérale” à leur propre compte, pratiquant dans les hôtels.

Certaines étaient mobiles et parcouraient la campagne pour s’offrir dans les villages.

Etre prostitué c’est à l'époque souvent l’histoire d’une vie

Plus par besoin que par plaisir, on commençait généralement à se prostituer à l'âge de 17 ans, mais en cachette. À 20 ans, on entre vraiment dans la profession. Puis, quand l'âge avance, on devient tenancière de maison.

On se doit toujours de porter des vêtements qui rappellent la profession pour être bien visibles et ne pas être confondu avec les autres femmes. À une époque, il y a eu la ceinture jaune par exemple. Aujourd’hui, il n'y a pas de signe spécifique, mais il y a toujours moyen de se faire repérer rapidement par la clientèle.

Au niveau des pratiques, avant la notion même de contraception, on privilégie le sexe anal, buccal ou manuel pour éviter les grossesses. Si par un écart de pratique, on tombe enceinte, on se doit de se marier ou d’abandonner son enfant.

Même si tout cela semble codifié et officiel, les pouvoirs publics, appuyés par les religieux, ont toujours essayé d’interdire la location de son corps à des fins sexuelles.

Saint Louis, il y a plus de 700 ans à en effet bien essayé de supprimer cette pratique. On interdit alors aux particuliers de loger des prostituées. Beaucoup de lieux publics, comme les bains, sont interdits aux femmes vendant leurs charmes. Mais pas partout, et pas tout le temps….

Bref, c’était peine perdue. Impossible d’interdire la prostitution. Par contre, on réduit de plus en plus les lieux officiels pour se donner bonne conscience. 

La religion se fait une raison et en fait un mal nécessaire. On y trouve alors des excuses comme celle de la rémunération. Si on est payé pour cela, c’est que c’est un travail… Cela rend la chose plus acceptable.

On y trouve même une utilité, celle d’éduquer les jeunes hommes, tout en leur évitant de dévié dans l’homosexualité par peur des femmes.

On l’a vue, à travers toutes les époques, que ce soit les politiques ou les religieux, personne n’a pu (ou vraiment voulu) supprimer la prostitution.

Aujourd’hui encore, on entend des annonces pour réguler cette profession, au nom de la morale, de la santé ou de la protection des femmes, mais la question est ardue.

En France, une loi a fait date. Nous sommes en 1946, c’est la Loi Marthe Richard qui impose la fermeture des maisons closes. C’était d’autant plus remarquable que cette femme politique était une ancienne prostituée. Voici son histoire.

Marthe Richard est née il y a 134 ans, elle nous a quittés en 1982 à 92 ans en nous laissant un CV impressionnant.

Pour ces parents, son destin est tracé. Elle sera couturière comme sa sœur. Elle ne l’entend pas de cette oreille, et fugue. Elle est arrêtée pour racolage par la police des mœurs à 16 ans. Ça ne l'empêche pas de re-fuguer à Nancy où elle devient prostituée dans un bordel. 

Elle doit y faire plus de 50 passes par jour ! Elle attrape la syphilis et, forcément, la partage. 

Dénoncée, elle est fichée par la police et doit quitter Paris.

Elle continue son activité un temps dans un établissement plus haut de gamme avec moins d'abattage et une clientèle plus aisée. C’est là qu’elle rencontre un riche homme d'affaires qu’elle épouse à 26 ans. Ce sera la fin de ses activités de prostituée. Elle demande alors à être retirée du fichier national de la prostitution, ce qui lui a été refusé. 

Elle passe alors son brevet de pilote et devient aviatrice dans un aéro-club féminin. On la verra dans de nombreux meetings aériens dans l’ouest de la France. Elle demandera à devenir aviatrice militaire en 1914, mais on n’y acceptait pas encore les femmes.

Ça ne l'empêchera pas de devenir espionne pendant la Première Guerre mondiale, retrouvant alors ses techniques de séduction pour devenir la maîtresse d’un ambassadeur allemand. Son rôle d’agent sera toutefois révélé et elle devra tout arrêter.

Elle épouse alors un riche directeur financier qui lui léguera une fortune. 

Son passé d’espionne oublié, elle n'intéresse pas du tout les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, ce qui la vexera au plus haut point.

Elle devient alors résistante en aidant des aviateurs américains. Après… il reste quand même des contradictions dans son rôle durant la guerre. Il n'empêche, elle sera élue conseillère de Paris en 1945.

Elle dépose alors un projet visant la fermeture des maisons closes à paris. Et ça marche. Il faut dire que ces maisons ont bien servi les Allemands pendant la guerre, les fermer avait aussi un sens punitif pour leur détenteur.

Forte de cette réussite, Marthe souhaite généraliser cette décision à tout le pays. Elle est suivie par les autorités et la population. Le 6 novembre 1946, toutes les maisons closes ferment définitivement leur porte, 1400 établissements quand même. 

Certains se reconvertissent en hôtel… de passe. La prostituée y fait donc maintenant une activité libre. Seules l’organisation et l’exploitation de la prostitution sont alors interdites.

Mais cette fermeture accentue la précarité des femmes. Pour la police, c’est aussi la perte d’une source de renseignement…

Il a même été question de les rouvrir en 1973, un peu sur le modèle allemand. Même Marthe Richard n’était pas contre l’idée qu’elle avait pourtant si ardemment combattu.

Elle meurt 4 ans plus tard, en 1982 à Paris.

Mais s’il y a des femmes (et des hommes, certes moins nombreux) qui aiment ce métier si décrié, le choisissant sans contrainte, il faut bien avoué qu’il s’agit le plus souvent d’une exploitation non désirée, organisée par des personnes tierces, la plupart du temps des hommes, les fameux macs, mais pas seulement, des femmes ont su aussi tirer partie du corps des autres. 

Mac est le diminutif de Maquereaux. Ce poisson est entremetteur pour les mâles et femelles harengs. Pourquoi, comment, on vous laisse voir, mais c’est bien ce maquereau proxénète qui à donner le mot d’argot.

Le fait est qu’aujourd’hui, s’il n’y a plus en France d’organisation légale de prostitution. Des filières existent, certaines étant à l'origine de la venue de filles étrangères, généralement de l’est, pour générer un trafic lucratif où on a de gros doutes sur la part de consentement.

Il existe des lois pour protéger ces exploitations et préserver la morale d’une partie de la population, dérangée par ce métier dont on ne préfère pas parler, et surtout ne pas voir dans les rues.

Difficile pourtant de juger entre la liberté individuelle et la prostitution forcée.

Au niveau mondial, dès 1949, la prostitution est considérée comme “une activité incompatible avec la dignité et la valeur de la personne humaine”. En 1960, la France ratifie également ce texte ou il n’est pas fait distinction entre la prostitution libre ou forcée. La répression se faisait plus ou moins fortement en France, principalement envers les prostitués, ce qui changera au 21eme siècle.

En effet, si on n’interdit pas explicitement de se prostituer (sauf pour les mineurs), il est interdit pour un “client” de payer pour des faveurs sexuelles. Donc, indirectement, ceci rend impossible de vendre légalement son corps.

Ce qui est plus clair par contre, c’est l’organisation de la prostitution. Inciter une personne à se vendre, ou, pire, en tirer profit est totalement condamnable.

À noter que le tourisme sexuel à l’étranger est aussi condamné par la loi française pour les clients. D’autant plus si le ou la prostitué est mineur.

Dans les faits, recourir aux services d’une personne qui se prostitue (volontairement ou non) est puni de 1500€ d’amende, et jusqu’à 3750 € en cas de récidive.

Pour le proxénète qui organise, incite ou taxe la prostitution, c’est jusqu’à 7 ans de prison et 150 000 € d’amende.

Quant à la personne qui se prostitue, on ne la culpabilise pas.

Son activité, du domaine privé, est légale, on lui demande même de se déclarer pour payer des impôts sur ses revenus.

Depuis 2016, le délit de racolage a été supprimé. On a donc une situation ubuesque où on a le droit de vendre, mais pas le droit d’avoir de client.

Obligeant à travailler caché, le racolage extérieur est alors repoussé en dehors des regards, ce qui rend encore plus dangereux cette profession, souvent victime d’agression.

La prostitution s’est alors déplacée sur internet ou on trouve de plus en plus d’activité privée, libre et choisie.

De 30 000 à 50 000 personnes sont victimes de la prostitution forcée en France. C’est une réalité qu’il faut dénoncer sans nuance.

Mais, même s’il peut être compliqué de le comprendre, certaines personnes se prostituent volontairement. Par besoin d’argent ou même en partie par plaisir. C’est d’elles dont nous allons maintenant parler. Généralement, ça ne dure qu’un temps et il est semble compliqué d’en faire un projet unique de vie.

Rares sont les personnes qui disent se prostituer. Par contre, l’escorting, qui est la même chose finalement, est en passe de se normaliser, que ce soit pour les femmes et même de plus en plus pour les hommes, même si la majeure partie des clients sont aussi des hommes. On les appelle aussi les travailleuses ou travailleurs du sexe. C’est donc considéré comme un véritable travail.

Ici le racolage est plus ou moins subtil. Certains sites affichent la couleur et proposent, sous couvert de petites annonces, un catalogue d’escortes. On est là à la limite de l’organisation de prostitution. La rémunération du site se fait par la pub ou la mise en avant payantes des annonces. Ce pourrait être un délit, mais ces sites sont souvent hors de France dans des pays à la législation différente.

Ces pages internet proposent, en plus de la photo et de la description de la personne, une liste de services. Des plus classiques aux plus hards. Des prix sont même affichés. Pour une heure ou une nuit. 

Il n’y a pas d’intermédiaire, vous êtes directement en contact avec la personne.

D’autres sites sont juste des réseaux sociaux ou des sites de rencontres classiques. L’utilisateur désirant faire payer la rencontre y fera un profil plus ou moins explicite. Un simple Hashtag “escort” est un signe qui ne trompe pas. Une ou un jeune qui cherche un daddy voire un sugar daddy veut se faire entretenir. Un style d’escorting.

Les utilisateurs aussi ne sont pas en reste. Si une personne vous écrit en disant qu’elle sait être généreuse, c’est qu'elle est prête à payer pour coucher avec vous. (Ce qui est illégal dans ce sens, on le rappelle).

Les rencontres se font soit chez le client, soit chez soi. Les clients peuvent se croire tout permis parce que payant une prestation, il est important de fixer le plus en amont possible les limites en étant le plus précis possible sur les pratiques acceptées. 

Même si cette activité reste souvent secrète et tabou, il est indispensable d’avoir un ami de confiance qui connaît votre emploi du temps pour intervenir en cas de problème. Certaines personnes payent même des vigiles. Mais attentions à eux, cela s’apparente à du proxénétisme.

Avec internet, que ce soit par fantasme pour besoin financier, on a vu que certaines personnes, jeunes pour la plupart, tentent de vendre un service sexuel. La plupart ne le feront qu’une fois ou occasionnellement. D’autres organiseront un véritable business, au risque d’y laisser leur santé, physique ou mentale.

Si les statistiques officielles parlent de 30 000 prostitués en France (dont 85% de femmes), il est fort à parier, que les passes d’un soir par des particuliers voulant arrondir leur fin de mois, font exploser ce chiffre.

Loin des histoires servies à longueur de film pornographique, les clients de prostitués ne sont pas toujours des princes charmants. 

Avoir un rapport sexuel avec une personne qui ne nous correspond pas, même pour de l’argent, n’est pas sans risque. 

Certes, tous ne réagissent pas de la même façon. Mais la situation peut être vécue comme une violence portant atteinte à son intégrité physique et psychique. Le dégout ou la gêne dus à la différence d’âge, à un physique qui ne nous convient pas, ou des pratiques trouvées dégradantes, peut modifier notre rapport au sexe, aux autres et à nous-mêmes.

Derrière la facilité relative de gagner de l’argent rapidement, il y a une mise en danger possible. Il est donc important de se protéger. 

Physiquement d’abord, en utilisant au maximum les préservatifs et en évitant les pratiques à risque. Plus on multiplie les partenaires, plus on peut attraper des infections parfois invisibles. Il est donc important de se faire dépister régulièrement.

Dans le cas de rapport à risque, surtout entre hommes, l’utilisation de la PREP est indispensable. Il s’agit d’un médicament à prendre soit en permanence, soit en vue d’un rapport. Il protège du VIH (le virus du SIDA), mais pas des autres maladies comme la syphilis ou la blennorragie. 

Les tests et les médicaments sont gratuits et peuvent sauver la vie et préserver celles des autres. Il suffit d’en parler à son médecin qui, on le rappelle, n’est pas là pour vous juger, juste vous soigner et vous conseiller.

Le deuxième danger est d’ordre psychologique. Il est important de toujours avoir une personne à qui parler de son activité. Ce n’est pas utile de rentrer dans les détails bien sûr, mais il faut pouvoir en parler en cas de besoins. 

Si on ne connaît personne de confiance, de nombreuses associations peuvent écouter et conseiller, sans juger.

Le plus vieux métier du monde est donc toujours présent malgré toutes les tentatives pour l’éradiquer. On a compris aujourd’hui que le plus constructif est de l’encadrer et d’en empêcher l’exploitation par des tiers.

De nombreuses aides, y compris inscrites dans la loi, permettent à ceux et celles qui veulent sortir d’une prostitution mal vécue de changer de vie. 

Pour les autres, il faut donc admettre que c’est parfois une activité consentie, même s’il faut se rendre à l’évidence, au vu de l’offre, cela ne dure qu’un temps. 

Il faut toujours prévoir un plan B, et surtout en parler à une personne de confiance pour ne pas rester seul avec ses interrogations.

En espérant que vous trouviez votre point G, en tout cas celui-ci est terminé.

Que le plaisir soit avec vous. C’était le point G.



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